Les préceptes du Yoga

La voie du Yoga et ses huit étapes

« Ceux qui veulent vraiment réussir dans la voie du YOGA doivent renoncer une fois pour toutes à se disperser.
Prenez une idée, faites de cette idée votre vie , pensez-y, rêvez-en, vivez de cette idée. Que votre cerveau, vos muscles, vos nerfs, que chaque partie de votre corps soient remplis de cette idée et laissez de côté toute idée. C’est le chemin de la Réussite »
SWAMI VIVEKANANDA


« Pour l’aspirant il n’y a pas de qualités plus essentielles qu’une patience et une persévérance à toutes épreuves avec une foi qui reste ferme à travers toutes les difficultés, les délais, et les échecs apparents »
UPANISHADS

bhagavad-gita

Bhagavad-gita « LE Chant du BIENHEUREUX » le poème épique du Mahabharata.

« Quand les nuages de la crainte, de l’incertitude et de la tension ne semblent pas se disperser au-dessus de l’horizon, quand la vie de l’homme est dominée par la passion, l’avidité et la haine.
Le message du Yoga transperce les ténèbres comme un rayon d’espoir, d’inspiration et de foi. L’essence de ce message est basée sur des valeurs spirituelles.
La force du Yoga réside dans l’amour et la compassion. L’amour étant l’expression de la vie, l’amour et la vie vont de pair. Nous ne pouvons pas vivre sans AMOUR »
SHRI MAHESH

Posture de la montagne

Posture de la montagne

« Le Hatha yoga »
Le but ultime du « Yoga » est d’ouvrir la conscience individuelle à la conscience cosmique ou divine.
Le chemin pour y parvenir c’est l’intériorité. Il s’agit de « rentrer chez soi » dans son fort intérieur, sa maison intérieure.
Le corps est la charpente de l’âme.

Le sage indien dit « rentre chez toi »

– Le « Ha » signifie l’énergie du soleil, l’énergie active, l’energie du jour.
– Le « tha » signifie l’energie lunaire, l’énergie receptrice, l’énergie de nuit.
Toute énergie est vibratoire, le jour n’existe pas sans la nuit, le soleil n’existe pas sans la lune, le chaud le froid.
– Le « Yoga » signifie, unir, relier, union au sens de la fusion.
Le « Hatha Yoga » est la science du corps et de l’énergie vitale. Il nous permet de retrouver une qualité de santé, de vigueur et vitalité par l’ascèse (tapas) par les postures (asanas) par les excercices respiratoires (pranayama) par des gestes symboliques (mudras) et par certaines contractions « douces » corporelles (bandhas) qui peuvent dans la continuité, nous amener sur la voix royale qui est le « Raja Yoga » (maîtrise du corps, du mental et de l’esprit).
L’instrospection est primordiale, cette présence et ressentis confondus. Nous devrions tourner notre mental vers l’intérieur et concentrer nos forces sur lui afin d’en connaître sa véritable nature. Cest le « Raja Yoga »
Notre mental est l’objet de notre étude, soyons le témoin du mental.
Seul ce regard intérieur nous mènera à nous voir tel que nous sommes.
C’est la quête de soi qui est l’aboutissement de l’étude.

« Les Yoga Sutra de Patanjali »
Un chemin de dépouillement intérieur vécu au quotidien.
Un texte et une pratique au carrefour des enseignements spirituels.

Il existe huit étapes dans « l’Ashtanga Yoga« .
Le but des « Yama et Nyama » est d’accéder à l’état de renoncement.
Le renoncement ne signifie pas l’ascétisme austère ou rigide, c’est plutôt un état d’esprit. Renoncer c’est lâcher prise, cela apporte la liberté, la paix et nous permet d’être totalement ouverts avec une possibilité d’accueillir.
La non violence et la vérité sont les clés qui rendent le renoncement possible tout en favorisant la sagesse et le bon sens.
Nous devons trouver cette progression morale au fur et à mesure que l’ignorance s’estompe…

Les huit étapes du Yoga

Huit étapes essentielles dans la pratique du yoga.

– I/ YAMA « les abstinences »
– II/ NIYAMA « les observances »
– III/ ASANA « les postures »
– IV/ PRANAYAMA « le contrôle du souffle »
– V/ PRATYAHRA « le retrait des sens »
– VI/ DHARANA « la concentration »
– VII/ DHYANA « la méditation »
– VIII/ SAMADHI « la contemplation »

Les quatre premières étapes sont qualifiées d’externes. Les quatre suivantes, d’internes ou subtiles.
Yama et Niyama constituent un couple indissociable ainsi que Asana ou Pranayama.
L’objectif des quatre premières est de purifier à la fois le mental et le corps physique, comme le précisait si bien « Shri Mahesh » nous devons utiliser cette force purificatrice et se servir de notre feu intérieur.

Un élément important
Tout ce qui se trouve dans le macrocosme se trouve dans le microcosme l’individu »

Ou que nous regardions, ou que nous nous trouvions dans la nature, il y a un rythme.
Le soleil, la lune, les étoiles, les planétes ont une régularité et leur place , tout est relié, interdépendant.
Ceci nous montre simplement qu’il n’y a pas qu’une succession d’étapes dans le Yoga mais une continuation.
Nous devons être à notre place et travailler d’une façon harmonieuse et rythmique en inter-relation avec la nature.
Ces huit étapes concernent notre monde intérieur et nos sens (perception) et nous aide à développer une auto discipline.

pranayama
Pranayama
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Si l’homme ne trouve pas un détachement total et profond, comment veut-il se réaliser ?
Peut importe l’agir ou le non agir, seul au delà du corps, de la multiplicitude et l’espace temps confère à l’homme sa liberté.
Et privé de ses trois détachements, l’homme qui prétend s’abandonner à la spiritualité ne serait qu’un joueur dans l’illusion.
Maître Eckart

I – YAMA « Vivre avec une vraie éthique »

Le mot Yama vient d’une racine Yam : brider, tenir en main, stabiliser.
La première des huit étapes de ce déploiement rythmique de la conscience.
« Les régles de vie dans la relation aux autres et à soi même »

1/ AHIMSA « la non violence »

C’est un précepte de premier ordre à mettre en application dans toutes les situations du quotidien, autant dans les paroles, les pensées ou les actions, et bien évidemment dans sa pratique Yoguique.
Renoncer à toutes pensées négatives ou violentes.
Nous devrions parler avec douceur et sagesse (suppression des injures ou d’un langage colérique)
Être attentif dans notre relation aux autres.
Il y a un vieux dicton dans « Le Mahabharata » qui est une épopée sanskrite de la mythologie hindoue comportant, selon le décompte de Vyasa, 81 936 strophes réparties en dix-huit livres. Il est considéré comme le plus grand poème jamais composé. Wikipédia
Le dicton nous dit :
« Une blessure causée par une flèche ou une hâche, guérit rapidement, mais une blessure causée par de méchantes paroles guérit lentement, voir même peut tuer »

2/ SATYA « la vérité »

Nous sommes la vérité. Si nous cherchons profondément la nature de notre être et ne nous laissons pas dominer ni par nos sens, ni nos passions.
La vérité ne peut se réaliser qu’avec un mental et des pensées paisibles.
« Le Mahabarata » nous dit qu’il est bien de parler avec vérité mais qu’il est mieux de parler pour faire le bien.
À partir de ce stade de bonté humaine, nous pouvons progresser vers une plus grande liberté.
La vérité est présente au quotidien. Il est primordial d’agir avec congruence et harmonie.
Le fait d’être dans ce monde d’actions et de relation ou nous utilisons le langage et les mots qui peuvent créer des maux, nous amène à être posé et réfléchi, une observation juste et sans jugement mais réelle.
De toute manière, si nous ne sommes pas vrai envers nous-même, la vie nous rappellera à l’ordre sous différentes formes.
« N’oublions pas que nous sommes dans ce monde de relation et sommes tous en interconnexion les uns avec les autres »

3/ ASTEYA « le non-vol »

Pour la plupart d’entre nous, le non-vol est une notion d’un bien matériel.
Cependant, cela signifie aussi de ne pas encourager, ni approuver un vol quelque soit sa nature.
« Ne pas s’approprier le bien d’autrui quelque soit sa forme… même en pensée, la non convoitise »

4/ BRAHMACHARYA « abstinence »

Ce quatrième Yama est le célibat. Ainsi, le célibat prend un sens élevé dans le but de maintenir le contrôle des organes des sens afin de permettre l’élévation de l’âme.
« Contrôle de la dispersion de l’énergie sexuelle et de retrouver une harmonie saine »

5/ APARIGRAHA « non-avidité »

C’est le dernier Yama.
Nous devons parvenir et travailler dans le but d’éliminer cette avidité mentale, verbale, physique qui peuvent nous amener au détachement complet vis à vis d’un objet, d’une situation, d’un être…
« Absence d’avidité et ne pas accepter de dons compromettants »

II – NIYAMA « Se purifier soi-même »

Les lois de Niyama, les observances.
« les régles de vie dans la relation avec soi même »

1/ SHAUCHA « la pureté »

Elle consiste à élever nos pensées, les observer et les transcender vers un niveau de conscience différent, ne pas rester sur des plans matériels, se rapprocher de plus en plus du Divin en chacun de nous, en communion saine et limpide et harmonieuse en accord avec son cheminement.
Elle doit être observée extérieurement de part la propreté de son corps et le respect de celui-ci.
La pureté intérieure, ce sont les nettoyages appelés Kriyas.
« Grâce à ceux-ci nous obtenons une plus grande maîtrise et une purification des canaux physiques et subtils »

2/ SANTOSHA « le contentement »

Se satisfaire de ce que l’on a et de ce que l’on est.
« Accueillir l’instant, c’est d’être heureux en soi même et par soi-même »
Nous pouvons le mettre en pratique lors de notre cheminement postural.
Cela ne veut dire rennoncement ou résignation…bien au contraire voir et vivre les faits tels qu’ils sont.

3/ TAPAS « les austérités »

« Effort, ardeur intérieure, chaleur, persévérence »
C’est défini comme la capacité de supporter les difficultés du chemin et de les transcender.
Une discipline, un travail sur soi même à chaque instant.

4/ SVADHYAYA « l’étude »

C’est l’étude de la connaissance de soi.
C’est l’étude des textes sacrés traditionnels de l’Hindouisme, les Védas, les Upanishad, la Bahgavad Gita, Puruna, le Ramayana, le Mahabarata, le Samkhya et les Yoga Sutra.
« Une mise en pratique est essentielle dans notre pratique posturale, sans les textes la posture ne peut-être nourrie et portée par les symboles et le le mythe »

5/ ISHVARA PRANIDANA « Dévotion envers le Seigneur »

Se centrer sur celui-ci.
Le cinquième et dernier Niyama.
Les religions, les philosophies, les enseignements, c’est l’abandon à Dieu.
La traduction et quelque soit « Ishvara Pranidana », sa signification est claire et très importante, avoir un comportement d’abandon.
De toute part, percevoir que le divin est en nous, c’est une absolue nécessité qui nous amènera au détachement dans notre vie spirituelle avec un recentrage dans tous les domaines de notre existence et ne pas être dépendant d’un système ou d’un dévot qui n’est qu’une création de l’être humain.
« Offrir toutes ses actions au Seigneur »

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Posture de yoga Paschimottanasana
"Le Yoga est teinté de celui qui le transmet"
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Pranaama; le contrôle du souffle
Pranaama; le contrôle du souffle
Lors du cheminement postural

III – ASANA « La posture »

La posture est très importante mais ne reste qu’un outil pour nous amener vers des plans les plus subtils à la rencontre du soi intérieur. Elle n’est pas un but, c’est un moyen d’ouverture de l’espace intérieur à travers le silence et l’immobilité du corps.
Dans la rubrique Cheminement postural se trouvent la présentation et les explications.

IV – PRANAYAMA « Discipline du souffle »

Le Pranayama est le contrôle du souffle.
– « Pra » signifie « se mettre à »
– « An » signifie « respirer »
– « Yam » signifie « allonger, ajuster »

Le Pranayama posséde en premier lieu la technique de la mécanique respiratoire. Sans cette connaissance, nous ne pouvons aller vers le souffle. ce souffle de vie qui anime la forme, celui qui nous est insuffler à notre naissance.
Le Prana est une énergie qui imprègne l’univers à tous les niveaux.
Il est le support de le fonction respiratoire.
La respiration est l’axe central autour duquel notre vie se maintient, nous pouvons rester un long moment sans manger, sans boire ou encore sans dormir mais sans Air (oxygène) et sans Prana (souffle), il est impossible de rester vivant plus de quelques minutes.
Les textes anciens nous indiquent que le Pranayama pratiqué correctement guéri et améliore la santé… mais s’il est pratiqué de façon erronée… sans connaissances… avec perfectionnisme…, il peut provoquer des complications mentales, physiques et psychologiques.
Le Pranayama peut vite créer un déséquilibre irréversible.
« C’est une mise en garde très importante et fondamentale dans la pratique du Yoga pour toute personne débutante ou non, de prendre conscience du souffle et de ses formes les plus subtiles ».
Il est bien connu qu’il est nécessaire d’associer la discipline du mental avec la détente de la conscience.
N’oublions pas la liaison qui existe entre le souffle et nos états psychiques qui modifient le rythme et l’aptitude de notre respiration lors d’une peur, d’une joie, d’un désir etc….
Donc nous devons à travers notre qualité de respiration, lente, régulière et consciente d’amener le calme dans notre conscience.
La fonction respiratoire doit-être consciente pour éviter une hypoxie, se recentrer redévelopper du discernement.

V – PRATYARA « Le retrait des sens »

Mène à la maîtrise de l’esprit et des sens.
Pratyahara en sanskrit signifie tirer vers le contraire. Le mouvement de nos sens est de s’écouler vers l’extérieur, là ou nous rencontrons les objets du monde, la matière.
Pratyahara nous invite et nous implique d’aller à l’encontre de notre tendance naturelle et d’aller dans une rétractation difficile, notre intériorité (la tortue)
Cela doit nous faire réfléchir et nous renvoyer à notre essence divine. Elle se trouve en nous. Elle est présente, c’est nous qui l’avons oubliée. Notre corps, notre mental, nos sens ne sont que transitoires.
Ils ne sont que notre véhicule pour traverser notre existence.
Bien sûr qu’il faut en prendre soin, les maîtriser.
Seule l’essence divine est maître du corps (l’Atmann) insuffle la vie en nous.
De par le retrait des sens, le mental se détache des objets extérieurs et s’intériorise. Lorsque le mental s’intériorise, les organes des sens s’apaisent et renonce aux objets extérieurs et si le mental rennonce aux objets extérieurs , les organes des sens s’apaisent.

 

 

Poème
Laisse le lieu, laisse le temps
Et les images également!
Si tu vas par une voie,
Sur le sentier étroit,
Tu parviendras jusqu’à
l’empreinte du désert.
Ô mon ÂME
Sors! Dieu entre…
Si je me perds
Toi je te trouve
Ô bien sûr essentiel.

Maître Eckart

VI – DHARANA « concentration »

Le mot concentration est d’origine latine, dirigé sur un seul point.
La concentration commence par la maîtrise et l’aptitude à diriger, à maintenir le mental sur une unique attention, une seule chose à la fois.
Après l’acquisition de cette étape, un deuxième niveau apparaît dans lequel on arrête le mental afin de voir, d’observer le fonctionnement de notre pensée.
La pratique du retrait des sens amène à la concentration.
Les textes anciens nous disent et nous informent que si l’on reste douze secondes, cela s’appelle une technique de concentration.
La concentration est une contraction du mental sans tension mais avec une attention et vigilance dirigées sur un objet extérieur ou vers son intériorité.
« Dans la Bhagavad-Gita, Krisna insiste sur la nécessité de l’équilibre en disant à Arjuna, la pratique du Yoga n’est pas pour celui qui mange trop ou pas assez, ni pour celui qui dort trop ou veille trop, celui qui est modéré dans sa nourriture, son travail, ses plaisirs….Celui-là seul est capable de maîtriser le Yoga et ses attentions ».
Ainsi nous pouvons, à travers la concentration, éliminer les déséquilibres physiques, psychologiques qui nous empêchent d’être dans la réalisation du Yoga.

VII – DHYANA « La méditation »

L’état de méditation est permanent à chaque moment de notre existence, il suffit d’être dans le pleine conscience.
La méditation, c’est la cessation des mouvements de la pensée, afin de laisser émerger la pleine conscience.
Le sujet est traité dans la page suivante « le cheminement postural » la séance de posture nous conduit à la méditation.

VIII – Le SAMADHI « La béatitude, la contemplation, état d’unité »

La huitème et dernière étape de « l’ASTHANGA YOGA » de « PATANJALI »
Si nous avons parcouru les sept premières étapes, nous ne sommes plus des étudiants mais des initiés.
Bien entendu, si nous sommes rentrés en contemplation, ou l’existence du « JE » disparaît à travers cette expérience.
En fait, le SAMADHI ne peut être expliqué, il doit venir de lui même.
C’est un état sans effort ou l’on fait l »expérience de la grâce de soi.
C’est l’absence de l’égo transcandé. Faire l’expérience du retour à la source du « le chemin du retour » du Divin (souffle de vie qui nous anime) et là, l’égo ne nous limite plus avec ses mesquineries, ni ses compromissions, ses peurs ou ses désirs.
C’est un état d’unité ou le Yogi réalisé n’est plus jamais inconscient de la la véritable relation entre la nature et l’Âme Cosmique qui anime chaque être dans sa réalité.
« Dans notre pratique, il est inutile de chercher cela, et cela n’a aucun sens parce que le SAMADHI ne peut-être enseigné, il ne peut-être qu’expérimenté même lors de notre cheminement postural, il devient un état de Grâce ».

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Posture de yoga Paschimottanasana
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Bol tibétain

Les Cinq fonctions du Souffle

1/ PRANA « fonction l’inspiration »
Le premier principe est appelé Prana, se manfeste et soutient le processus respiratoire, maintenant la vie physiquedont la conséquence est l’inspiration dans la fonction mécanique articulaire et musculaire.
Le siège en est le « Coeur », notre première fonction respiratoire à la naissance à sa source dans le coeur. C’est l’ouverture au sens large qui développe ses capacités de recevoir : l’oxygène, les sentiments d’amour, de tendresse etc…

2/ APANA « fonction l’expiration »
C’est un courant descendant qui circule dans le bas de l’abdomen.
Il contrôle les fonctions d’élimination (de l’urine, des excréments et des toxines alimentaires)
Le siège en est l’anus, développer les capacités de donner les sentiments et rendre l’oxygène transformé en gaz carbonique. La première fonction physiologique du corps nous enseigne que la vie est échange entre l’intérieur et l’extérieur et que l’être humain est un être de relation.

3/ SAMANA ‘fonction la digestion et l’assimilation »
Le siège en est le nombril, il régule les feux gastriques. Il contrôle le processus de la digestion.

4/ VYANA « fonction le mouvement »
Le siège tout le corps. Il véhicule Prana et Apana.

5/ UDANA « fonction l’expression »
Le siège est dans la gorge. UD signifie « vers le haut », souffle ascendantle plus subtil.
Il permet la compréhension, souffle de la sagesse.

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